12 MAI : FÊTE FURIEUSE, POURQUOI FUMER ET ESPÉRANCE DE VIE

 

Bon vendredi!

Aujourd’hui c’est ma fête!!!

Pas de grande célébration prévue.

Plutôt des réflexions.

 

1. CHAQUE ANNÉE ❤️‍🔥

 

Idée : Partager cette lettre de Jacques Brel est devenu une tradition pour moi.

Chaque année, en guise de remerciement à tous les souhaits reçus la journée de ma fête :

« Je vous souhaite des rêves à n'en plus finir et l'envie furieuse d'en réaliser quelques uns.

Je vous souhaite de résister à l'enlisement, à l'indifférence et aux vertus négatives de notre époque.

Je vous souhaite enfin de ne jamais renoncer à la recherche, à l'aventure, à la vie, à l'amour, car la vie est une magnifique aventure et nul de raisonnable ne doit y renoncer sans livrer une rude bataille.

Je vous souhaite surtout d'être vous, fier de l'être et heureux, car le bonheur est notre destin véritable. »

Action : Chaque année c’est aussi l’occasion de répondre à cette question.

Vos actions d’aujourd’hui sont-elles cohérentes avec les rêves qui vous habitent?


 

2. 🎂 12 années avec lui

 

Idée : Je suis née la journée de la fête à mon grand-père.

Claude. Qui voulait se faire appeler Pépère par ses petits enfants.

Pépère. Le dire nous a toujours fait rire.

J’ai grandi en face de chez mes grands-parents.

Chacun de mes anniversaires a été fêté aux côtés de mon grand-père,

avec fierté et dans l’énergie printanière du mois de mai. 🌷

Action : Je réalise que célébrer ma fête n’est plus important pour moi depuis son décès.

Habituellement je suis inspirée à l’action, mais je ne sais pas si je vais y faire quelque chose.

À méditer.


 

3. 🖤 23 sans lui

 

Idée : Mon grand-père fumait. Beaucoup. Pendant des années. Jusqu’au dernier jour. En cachette dans les toilettes de l’hôpital.

Je me suis toujours demandé pourquoi fumer alors qu’on sait que ça réduit notre vie. Nuit à notre santé. Qu’on est à une crise cardiaque de quitter ceux qu’on aime.

Il est mort après sa dernière. Paisiblement dans la nuit, la veille de son congé d’hôpital. On pensait tous qu’il reviendrait à la maison, même cette fois.

Il rêvait d’une mort douce.

Pourquoi ne pas rêver à une vie longue?

J’avais 12 ans quand il est décédé. Il me manque toujours autant. Et je ne peux m’empêcher de penser aux moments qu’on aurait pu vivre avec lui pour des années additionnelles.

Quand je partageais ma peine à ma plus jeune soeur, sa réponse, en pleurs, a été :

« Moi j’avais 5 ans quand il est décédé. Je n’ai pas de souvenirs de mes grands-pères ».

Elle avait 1 an quand le père de ma mère est parti.

Action : Mort précipitée ou lente dégénérescence. Deux scénarios que je ne souhaite pas à mes parents. Ni à personne.

Deux scénarios qui peuvent être transformés par nos habitudes de vie.

Même si j’ai longtemps manqué de courage pour le dire, c’est exactement pour ça que je dédie ma vie à créer un futur différent.


 

C’EST QUOI LE COURRIER?

C’est la première infolettre sur le design actif à la maison. Chaque vendredi, on partage trois idées qui ont inspiré trois actions. Un courriel qui se lit en trois minutes.

 
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